politique

De la récession à la résurrection : L'Allemagne joue son va-tout

Élections historiques, économie en berne et défis géopolitiques : l'Allemagne de Friedrich Merz face à son destin européen

Publié le
3/3/25
, mis à jour le
3/3/25
March 3, 2025

Ah, l'Allemagne ! Ce pays qui nous fait tant rêver avec ses saucisses, sa bière et sa ponctualité légendaire. Mais voilà que notre chère voisine d'outre-Rhin vient de nous offrir un spectacle électoral digne des meilleures comédies germaniques. Accrochez-vous à vos chopes, chers lecteurs, car nous allons plonger dans les méandres de la politique allemande post-Merkel, où l'ennui n'est définitivement plus au rendez-vous !

Le grand chambardement : quand l'Allemagne joue aux chaises musicales

Dimanche 23 février 2025, une date qui restera gravée dans les annales de l'histoire politique allemande. Après des mois de tensions, de crises et de querelles dignes d'une réunion de copropriété, les Allemands ont finalement décidé de mettre fin à leur misère en allant aux urnes. Et quel résultat mes amis ! Un véritable feu d'artifice politique qui ferait pâlir d'envie nos amis italiens, pourtant experts en la matière.

La coalition "tricolore" d'Olaf Scholz, ce grand manitou du SPD qui pensait avoir trouvé la recette magique pour gouverner, s'est effondrée comme un soufflé mal préparé. Avec seulement 16,5% des voix, c'est un score digne des meilleures performances de l'équipe nationale de football allemande lors du dernier Mondial. Une véritable Götterdämmerung politique !

Mais ne pleurons pas sur le sort de ces pauvres sociaux-démocrates, car voici que surgit des ténèbres Friedrich Merz, tel un phénix conservateur renaissant des cendres de l'ère Merkel. La CDU/CSU, ce bon vieux parti qui sent bon la naphtaline et les valeurs traditionnelles, a réussi à convaincre les électeurs qu'il était temps de revenir aux fondamentaux. Comme quoi, en politique comme en cuisine, les recettes de grand-mère ont toujours la cote.

L'économie allemande : quand le moteur de l'Europe tousse

Parlons un peu de l'éléphant dans le magasin de porcelaine, ou devrais-je dire, du diesel dans le moteur. L'économie allemande, jadis fleuron de l'industrie européenne, ressemble aujourd'hui à une vieille Volkswagen qui peine à démarrer par temps froid. Depuis plus de trois ans, notre chère Allemagne fait du sur-place, comme si elle était coincée dans un embouteillage sur l'autoroute de la croissance.

Les chiffres sont là, implacables comme un contrôle fiscal : l'économie allemande a connu une contraction en 2024, pour la deuxième année consécutive. C'est ce qu'on appelle faire du rétropédalage avec style ! Imaginez un peu : la taille de l'économie allemande est aujourd'hui la même qu'en 2020. Cinq ans de stagnation, c'est comme si le temps s'était arrêté outre-Rhin. À croire que les horloges allemandes, pourtant réputées pour leur précision, ont décidé de faire grève.

Les raisons de ce marasme ? Une cocktail explosif : inflation galopante, taux d'intérêt en hausse, stocks qui s'accumulent comme des chopes vides un soir de fête de la bière, et une incertitude politique qui ferait passer nos débats sur les retraites pour une partie de plaisir. Sans oublier la cerise sur le gâteau : la fin du modèle économique basé sur l'énergie pas chère et les grands marchés d'exportation facilement accessibles. C'est un peu comme si on demandait à un Bavarois de renoncer à sa chope : impensable et douloureux.

La grande coalition : le retour du je-t'aime-moi-non-plus

Mais revenons à nos moutons. Friedrich Merz, nouveau chevalier blanc de la droite allemande, se retrouve face à un dilemme cornélien : avec qui former une coalition pour gouverner ?

L'option la plus probable ? Une "grande coalition" CDU/CSU + SPD. Ah, la grande coalition ! Cette vieille recette qui a fait ses preuves sous l'ère Merkel, comme un bon plat de choucroute qu'on ressort à chaque repas de famille. Mais attention, la négociation s'annonce plus épineuse qu'un hérisson dans un bal de ballons. Les deux partis avaient juré leurs grands dieux qu'ils ne s'allieraient jamais. Comme quoi, en politique, il ne faut jamais dire "fontaine, je ne boirai pas de ton eau"...

Autre possibilité : une alliance CDU/CSU + Verts. Le mariage de la carpe et du lapin ? Pas si sûr. Merz semble ouvert à cette idée, mais son virage à droite sur l'immigration pourrait faire fuir les écologistes.

Une chose est sûre : pas question de s'acoquiner avec l'extrême droite (AfD). C'est la ligne rouge, le Rubicon que personne n'ose franchir depuis la Seconde Guerre mondiale. Comme quoi, même en politique allemande, il y a des limites à ne pas dépasser.

L'Allemagne et l'UE : quand le géant se réveille

Maintenant, parlons un peu des implications de tout ce remue-ménage pour notre chère Union européenne. Car oui, quand l'Allemagne éternue, c'est toute l'Europe qui s'enrhume.

Le retour aux affaires de la CDU/CSU pourrait bien rebattre les cartes sur la scène européenne. Fini le temps où l'Allemagne jouait les Belles au bois dormant de l'UE, il est l'heure de se réveiller et de reprendre les rênes ! Merz et sa bande ont bien l'intention de redonner à l'Allemagne son statut de locomotive européenne, même si pour l'instant, elle ressemble plus à un tortillard régional qu'au TGV.

Au programme : renforcement de la compétitivité (parce que visiblement, être la première économie d'Europe ne suffit plus), assouplissement potentiel du fameux "frein à l'endettement" (cette règle budgétaire allemande plus rigide qu'un col amidonné), et une réforme institutionnelle de l'UE. En gros, l'Allemagne veut une Europe plus forte et plus efficace, mais avec moins de bureaucratie.

Les défis à venir : quand l'Allemagne joue son va-tout

Mais attention, tout n'est pas rose dans le jardin germanique. Friedrich Merz va devoir jongler avec plusieurs balles en même temps, et pas des plus légères.

Primo, la relance économique. Comment redonner des couleurs à cette économie qui fait du surplace depuis plus longtemps qu'un Berlinois dans les embouteillages ? La CDU propose des baisses d'impôts et une simplification administrative. Révolutionnaire, n'est-ce pas ? À croire que personne n'y avait pensé avant.

Deuzio, l'immigration. Sujet brûlant s'il en est, surtout après les récents attentats qui ont secoué le pays. Merz joue la carte de la fermeté, mais attention à ne pas trop tirer sur la corde au risque de la voir se rompre.

Tertio, la politique étrangère. Entre un Donald Trump qui met des barrières douanières à tout va et une Chine qui se fait de plus en plus menaçante, l'Allemagne va devoir jouer finement. Sans oublier la Russie et le conflit en Ukraine qui continue de faire rage. Bref, un vrai casse-tête géopolitique qui donnerait la migraine à Bismarck lui-même.

L'Allemagne, chef d'orchestre d'une Europe en mutation ?

Mais ne soyons pas trop pessimistes. Après tout, l'Allemagne a toujours su rebondir, même dans les moments les plus sombres. Et si cette crise était finalement l'opportunité de repenser en profondeur le rôle de l'Allemagne en Europe et dans le monde ?

L'historien Timothy Snyder n'a pas tort quand il dit que 2025 doit être "l'année de l'action européenne", avec l'Allemagne comme "plus grande démocratie fonctionnelle" du monde. Rien que ça ! Voilà qui devrait faire plaisir aux français, toujours prompts à revendiquer le leadership européen.

L'Allemagne a une carte maîtresse à jouer : celle de l'unité européenne face aux défis globaux. Face à un Trump qui cherchera probablement à diviser pour mieux régner, l'Allemagne doit être le ciment qui maintient l'édifice européen debout. Merz l'a bien compris, appelant à une voix européenne unie face aux États-Unis. Comme quoi, même les vieux éléphants de la politique peuvent apprendre de nouveaux tours.

Une Allemagne à la croisée des chemins

Que retenir de tout ce brouhaha politique ?

L'Allemagne se trouve à un moment charnière de son histoire. Fini le temps de l'Allemagne spectatrice, place à l'Allemagne actrice de son destin et de celui de l'Europe.

Les défis sont immenses : relance économique, gestion de l'immigration, réforme de l'UE, positionnement face aux grandes puissances mondiales... Mais n'est-ce pas dans l'adversité que l'Allemagne a toujours donné le meilleur d'elle-même ? Après tout, ce pays a bien réussi à se reconstruire après deux guerres mondiales, alors une petite crise économique et politique, ne devrait pas l'effrayer !

Une chose est sûre : les prochains mois s'annoncent passionnants pour les observateurs de la politique allemande. Entre les négociations pour former une coalition, les premières décisions du nouveau gouvernement et les réactions de nos voisins européens, on ne risque pas de s'ennuyer.

Alors, chers amis, gardons un œil attentif sur ce qui se passe outre-Rhin. Car comme le disait si bien un certain chancelier : "L'histoire de l'Allemagne, c'est l'histoire de l'Europe." Et si l'Allemagne éternue, mieux vaut avoir des mouchoirs à portée de main. Qui sait, peut-être que dans quelques années, nous regarderons cette période comme le début d'une nouvelle ère pour l'Allemagne et l'Europe. Ou alors, nous nous dirons que décidément, la politique est un éternel recommencement. Dans tous les cas, ça promet d'être divertissant !

Animé par la mission de rendre la finance et l'économie plus claires et accessibles, Tristan aide à décrypter les tendances complexes et à explorer des voies alternatives pour répondre aux enjeux globaux de demain. Expert en finance durable, économie et transition énergétique, il partage ses analyses pour participer à la prise de conscience des enjeux et au progrès sociétal.

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De la récession à la résurrection : L'Allemagne joue son va-tout

Publié le
March 3, 2025
, mis à jour le
3/3/25
March 3, 2025

Ah, l'Allemagne ! Ce pays qui nous fait tant rêver avec ses saucisses, sa bière et sa ponctualité légendaire. Mais voilà que notre chère voisine d'outre-Rhin vient de nous offrir un spectacle électoral digne des meilleures comédies germaniques. Accrochez-vous à vos chopes, chers lecteurs, car nous allons plonger dans les méandres de la politique allemande post-Merkel, où l'ennui n'est définitivement plus au rendez-vous !

Le grand chambardement : quand l'Allemagne joue aux chaises musicales

Dimanche 23 février 2025, une date qui restera gravée dans les annales de l'histoire politique allemande. Après des mois de tensions, de crises et de querelles dignes d'une réunion de copropriété, les Allemands ont finalement décidé de mettre fin à leur misère en allant aux urnes. Et quel résultat mes amis ! Un véritable feu d'artifice politique qui ferait pâlir d'envie nos amis italiens, pourtant experts en la matière.

La coalition "tricolore" d'Olaf Scholz, ce grand manitou du SPD qui pensait avoir trouvé la recette magique pour gouverner, s'est effondrée comme un soufflé mal préparé. Avec seulement 16,5% des voix, c'est un score digne des meilleures performances de l'équipe nationale de football allemande lors du dernier Mondial. Une véritable Götterdämmerung politique !

Mais ne pleurons pas sur le sort de ces pauvres sociaux-démocrates, car voici que surgit des ténèbres Friedrich Merz, tel un phénix conservateur renaissant des cendres de l'ère Merkel. La CDU/CSU, ce bon vieux parti qui sent bon la naphtaline et les valeurs traditionnelles, a réussi à convaincre les électeurs qu'il était temps de revenir aux fondamentaux. Comme quoi, en politique comme en cuisine, les recettes de grand-mère ont toujours la cote.

L'économie allemande : quand le moteur de l'Europe tousse

Parlons un peu de l'éléphant dans le magasin de porcelaine, ou devrais-je dire, du diesel dans le moteur. L'économie allemande, jadis fleuron de l'industrie européenne, ressemble aujourd'hui à une vieille Volkswagen qui peine à démarrer par temps froid. Depuis plus de trois ans, notre chère Allemagne fait du sur-place, comme si elle était coincée dans un embouteillage sur l'autoroute de la croissance.

Les chiffres sont là, implacables comme un contrôle fiscal : l'économie allemande a connu une contraction en 2024, pour la deuxième année consécutive. C'est ce qu'on appelle faire du rétropédalage avec style ! Imaginez un peu : la taille de l'économie allemande est aujourd'hui la même qu'en 2020. Cinq ans de stagnation, c'est comme si le temps s'était arrêté outre-Rhin. À croire que les horloges allemandes, pourtant réputées pour leur précision, ont décidé de faire grève.

Les raisons de ce marasme ? Une cocktail explosif : inflation galopante, taux d'intérêt en hausse, stocks qui s'accumulent comme des chopes vides un soir de fête de la bière, et une incertitude politique qui ferait passer nos débats sur les retraites pour une partie de plaisir. Sans oublier la cerise sur le gâteau : la fin du modèle économique basé sur l'énergie pas chère et les grands marchés d'exportation facilement accessibles. C'est un peu comme si on demandait à un Bavarois de renoncer à sa chope : impensable et douloureux.

La grande coalition : le retour du je-t'aime-moi-non-plus

Mais revenons à nos moutons. Friedrich Merz, nouveau chevalier blanc de la droite allemande, se retrouve face à un dilemme cornélien : avec qui former une coalition pour gouverner ?

L'option la plus probable ? Une "grande coalition" CDU/CSU + SPD. Ah, la grande coalition ! Cette vieille recette qui a fait ses preuves sous l'ère Merkel, comme un bon plat de choucroute qu'on ressort à chaque repas de famille. Mais attention, la négociation s'annonce plus épineuse qu'un hérisson dans un bal de ballons. Les deux partis avaient juré leurs grands dieux qu'ils ne s'allieraient jamais. Comme quoi, en politique, il ne faut jamais dire "fontaine, je ne boirai pas de ton eau"...

Autre possibilité : une alliance CDU/CSU + Verts. Le mariage de la carpe et du lapin ? Pas si sûr. Merz semble ouvert à cette idée, mais son virage à droite sur l'immigration pourrait faire fuir les écologistes.

Une chose est sûre : pas question de s'acoquiner avec l'extrême droite (AfD). C'est la ligne rouge, le Rubicon que personne n'ose franchir depuis la Seconde Guerre mondiale. Comme quoi, même en politique allemande, il y a des limites à ne pas dépasser.

L'Allemagne et l'UE : quand le géant se réveille

Maintenant, parlons un peu des implications de tout ce remue-ménage pour notre chère Union européenne. Car oui, quand l'Allemagne éternue, c'est toute l'Europe qui s'enrhume.

Le retour aux affaires de la CDU/CSU pourrait bien rebattre les cartes sur la scène européenne. Fini le temps où l'Allemagne jouait les Belles au bois dormant de l'UE, il est l'heure de se réveiller et de reprendre les rênes ! Merz et sa bande ont bien l'intention de redonner à l'Allemagne son statut de locomotive européenne, même si pour l'instant, elle ressemble plus à un tortillard régional qu'au TGV.

Au programme : renforcement de la compétitivité (parce que visiblement, être la première économie d'Europe ne suffit plus), assouplissement potentiel du fameux "frein à l'endettement" (cette règle budgétaire allemande plus rigide qu'un col amidonné), et une réforme institutionnelle de l'UE. En gros, l'Allemagne veut une Europe plus forte et plus efficace, mais avec moins de bureaucratie.

Les défis à venir : quand l'Allemagne joue son va-tout

Mais attention, tout n'est pas rose dans le jardin germanique. Friedrich Merz va devoir jongler avec plusieurs balles en même temps, et pas des plus légères.

Primo, la relance économique. Comment redonner des couleurs à cette économie qui fait du surplace depuis plus longtemps qu'un Berlinois dans les embouteillages ? La CDU propose des baisses d'impôts et une simplification administrative. Révolutionnaire, n'est-ce pas ? À croire que personne n'y avait pensé avant.

Deuzio, l'immigration. Sujet brûlant s'il en est, surtout après les récents attentats qui ont secoué le pays. Merz joue la carte de la fermeté, mais attention à ne pas trop tirer sur la corde au risque de la voir se rompre.

Tertio, la politique étrangère. Entre un Donald Trump qui met des barrières douanières à tout va et une Chine qui se fait de plus en plus menaçante, l'Allemagne va devoir jouer finement. Sans oublier la Russie et le conflit en Ukraine qui continue de faire rage. Bref, un vrai casse-tête géopolitique qui donnerait la migraine à Bismarck lui-même.

L'Allemagne, chef d'orchestre d'une Europe en mutation ?

Mais ne soyons pas trop pessimistes. Après tout, l'Allemagne a toujours su rebondir, même dans les moments les plus sombres. Et si cette crise était finalement l'opportunité de repenser en profondeur le rôle de l'Allemagne en Europe et dans le monde ?

L'historien Timothy Snyder n'a pas tort quand il dit que 2025 doit être "l'année de l'action européenne", avec l'Allemagne comme "plus grande démocratie fonctionnelle" du monde. Rien que ça ! Voilà qui devrait faire plaisir aux français, toujours prompts à revendiquer le leadership européen.

L'Allemagne a une carte maîtresse à jouer : celle de l'unité européenne face aux défis globaux. Face à un Trump qui cherchera probablement à diviser pour mieux régner, l'Allemagne doit être le ciment qui maintient l'édifice européen debout. Merz l'a bien compris, appelant à une voix européenne unie face aux États-Unis. Comme quoi, même les vieux éléphants de la politique peuvent apprendre de nouveaux tours.

Une Allemagne à la croisée des chemins

Que retenir de tout ce brouhaha politique ?

L'Allemagne se trouve à un moment charnière de son histoire. Fini le temps de l'Allemagne spectatrice, place à l'Allemagne actrice de son destin et de celui de l'Europe.

Les défis sont immenses : relance économique, gestion de l'immigration, réforme de l'UE, positionnement face aux grandes puissances mondiales... Mais n'est-ce pas dans l'adversité que l'Allemagne a toujours donné le meilleur d'elle-même ? Après tout, ce pays a bien réussi à se reconstruire après deux guerres mondiales, alors une petite crise économique et politique, ne devrait pas l'effrayer !

Une chose est sûre : les prochains mois s'annoncent passionnants pour les observateurs de la politique allemande. Entre les négociations pour former une coalition, les premières décisions du nouveau gouvernement et les réactions de nos voisins européens, on ne risque pas de s'ennuyer.

Alors, chers amis, gardons un œil attentif sur ce qui se passe outre-Rhin. Car comme le disait si bien un certain chancelier : "L'histoire de l'Allemagne, c'est l'histoire de l'Europe." Et si l'Allemagne éternue, mieux vaut avoir des mouchoirs à portée de main. Qui sait, peut-être que dans quelques années, nous regarderons cette période comme le début d'une nouvelle ère pour l'Allemagne et l'Europe. Ou alors, nous nous dirons que décidément, la politique est un éternel recommencement. Dans tous les cas, ça promet d'être divertissant !

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